Des fractures, des failles ou des fragilités qui défavoriseraient au point de n’être pas acceptées ?
Quels sont les paramètres qui régissent la justice des hommes et
celles, plus immatérielles, qu’ils évoquent – ou invoquent – en dernier
lieu ?
une abeille, une abeille vivante,
contre la vitre, cherchant à s’échapper, captive,
ne peut comprendre.
La peine est une dent, une chair
qui incessamment, indéfiniment, nous est arrachée
La peine est une mort qui fait envier la peur
et pleurer, pleurer, pleurer son absence.
La peine est une perte,
où l’on perd l’amarrage au sol hospitalier.
La peine est une mort que la mort n’aide pas.
Maintenant tu peux chanter la chanson secrète,
comme chante l’oiseau.
Non pour marquer son territoire
ou pour dominer,
mais par désir de s’épanouir,
et pour que quelque chose
naisse du néant.