Du terrorisme international

Vous avez noté comme le terrorisme international naît et se reproduit uniquement -malgré de très rares exception d’éléments isolés en mal d’égo- au sein de populations incultes, sous-développées et ayant connu dans leur passé un vécu parasitaire élaboré avec force et soin ? Faites le tour, vous verrez que ces propos, politiquement incorrects, ne sont pas faux. On a sur la planète des peuples fort belliqueux qui ont fait leur preuve en matière de réactivité. Citons nos divers amis d’Europe centrale, de Turquie à l’Histoire si rebondissante ou les Fils des  Dzourdzouks, par exemple. Dynamiques, certes, mais rien de comparable avec Cuba, l’Iran, le Soudan et la Syrie, l’Afghanistan, l’Algérie, l’Arabie saoudite, l’Irak, le Liban, la Libye, le Nigeria, le Pakistan, la Somalie et le Yémen et nul n’aurait l’idée de les offenser avec une aussi insultante comparaison. Pour la Palestine, c’est particulier : le match Israel-Palestine se joue généralement à domicile et le stade appartient aux USA. Je schématise mais en gros, c’est ça.
 Mais ce qui est notable et qui m’a ravi au-delà de tout, c’est que ces gens sont des êtres que je qualifierai d’inférieurs. Je n’incite à aucune haine raciale, j’observe : une culture étriquée, des croyances étriquées, une vie étriquée… Même leurs bombes sont étriquées. Les plus grosses emportent par centaines, grand maximum, et qui plus est dans la douleur (et de force, ça va sans dire).
En revanche, des Bombes aussi puissantes, sophistiquées, redoutables et dévastatrices que celles dont nous avons l’habitude, il n’en ont pas une seule.
Les pauvres.

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Des fois on s'interroge :-)

Et bien voilà. Ne doutez plus. Grâce à cet outil performant, chacun est désormais à même d’obtenir réponse.

(Nota : Ce remarquable logiciel de traitement de données est gratuit. Vous pouvez donc le télécharger en effectuant un clic droit puis Enregistrer sous )

Réflexion matinale

To be or not to be (William Shakespeare)

Dooby-doooby-doo dooby-doooby-doo dooby-doooby-doo (Franck Sinatra)

Pour le plaisiiiiir…

Un p’tit proverbe médiéval relu et gardé sous le coude…

Oignez, elle vous poindra ; poignez, elle vous oindra.

Extrait du Grimoire

Quand on aime les êtres, il ne faut pas les protéger.

Et si…

Comme d’autres, il m’est arrivé d’enquéter sur les légendes. J’ai creusé, découvert parfois, parfois pas. En y repensant, une question se pose : Et si on ne devait jamais enquêter sur les légendes ? Et si elles n’existaient que pour nous immuniser contre la petitesse des choses ? Car il faut bien l’admettre, celui ou celle qui les gratte le fait toujours à ses dépens. Qu’est-ce qui prime alors : l’origine ou l’Essence ? Ne faut-il pas se méfier des intelligences paresseuses qui ne se donnent pas la peine de réenchanter le monde ? Est-il moral d’infliger aux autres une perception plate du réel ?

Saint-Valentin

Ecrit par un(e) anonyme franc-comtois(e), lu pour vous et reproduit ici dans l’adhésion la plus totale :

“Tous les 14 février, la même injonction marchande de faire rougir nos… cartes bleues, nous brise les coucougnettes et les mamelons.

Les belles cruches des pubs et des vitrines attendent passivement leurs beaux mâles, les bras chargés de (au choix) : 1° Des fleurs qu’elles sont belles, 2° Des bijoux qui brillent, 3° Du parfum qui sent bon, 4° De la lingerie qui va bien, Ou tout autre preuve d’un amour normatif. Tant de coeurs nous écoeurent et tant de roses nous névrosent. Notre intimité est souillée par leurs images d’un amour conforme aux stéréotypes sexistes et bourgeois.

Nous sommes célibataires ou en couples, et en avons par dessus les balconnets de devoir prouver à date fixe un amour sonnant et trébuchant. De plus face à la “crise”, marchands et moralistes s’entendent assez bien et souhaiteraient nous voir recroquevillés sur notre petite cellule familiale. Brisons nos chaînes !

                                    Faites l’Amour, pas les magasins !

Comme un lettre à la poste…

Et oui, ça fait déjà 6 jours. Je devrais peut-être m ‘en réjouir mais je ne sais pas pourquoi, je ne la “sens” pas. Peut-être parce qu’elle est le fruit d’une seule voix, je ne sais pas. De quoi je parle ? De la Loppsi 2. Arsenal répressif renforcé,  grandes orientations des forces de l’ordre fixées de 2009 à 2013, nombreuses dispositions concernant les collectivités locales,  champ de la vidéo surveillance largement étendu au privé (ex : après en avoir informé le maire, toute personne morale peut installer sur la voie publique un système de vidéo protection..)comme au public et au judiciaire (et aucun pouvoir accordé au cnil, même d’avertissement public) , extension des pouvoirs et champs d’action des polices municipales, etc.

Certains points sont fort judicieux, d’autres sentent le soufre.

AnArChy ? (2)

Ils crachent sur les flics et les gendarmes, caillassent les pompiers, revendiquent et contestent et dépendent et exigent, francs comme des ânes qui reculent, vicieux comme des râteaux oubliés dans l’herbe, méchants comme des belettes vexées et bêtes à manger du foin. Il est aussi ridicule de pester sur les forces de l’ordre que de dénigrer les transports en commun (ils le font aussi).

Ca manque d’oeuvres (basses ou Hautes) et d’ordalie, tout ça. Non qu’il faille en attendre une vérité, mais ça avait un côté éducatif appréciable.

Je n’aime ni les transports en commun car je n’aime pas la foule, ni les forces de l’ordre quand elles sont obtues ou intrusives. Mais si j’entre dans leur dimension, c’est pour jouir de ce que la cité propose et Ses règles de base prévalent, si perfectibles soient-elles (et dieu sait qu’elles le sont bougrement). La seule chose que chacun est en droit de revendiquer (et qui n’est pas toujours accordé), c’est le droit de choisir.

AnArChy ?

lorsqu’un individu a réussi à satisfaire un désir refoulé, tous les autres membres de la collectivité doivent éprouver la tentation d’en faire autant. Pour réprimer cette tentation, il faut punir l’audace de celui dont on envie la satisfaction et il arrive que le châtiment fournisse à ceux qui l’éxécutent l’occasion de commettre à leur tour, sous le couvert de l’expiation, ce même acte impur. C’est là l’un des principes fondamentaux du système pénal humain.