A propos du Point G

la science est parfois pleine de surprises, tant dans ses recherches que dans ses conclusions.
Ici, le Point G.
Il existe une technique pour augmenter le plaisir sexuel féminin, importée depuis quelques années des USA et commercialisée, consistant à amplifier le point G par une injection intradermique sous-et péri-urétrale de 3 mL d’une solution isotonique d’acide hyaluronique.
Toutefois,l’existence du Point G demeure associée à un autre point (le point d’interrogation) et d’aucun prétendent que sa stimulation n’a fait couler que de l’encre (comme quoi, c’est coquin, un calamar).
Une controverse sur le point G demeure donc, d’autant que les glandes de Skène n’existent que chez 70% des femmes.
Aussi, on peut admettre -ou non – les propos du DR HINES TM (Department of Psychology, Pace University, Pleasantville, NY 10570-2799, USA), qui, à l’issue d’une étude très sérieuse, annonçait dans ses conclusions :
"A ce jour le G-spot est un OVNI gynécologique : certains en ont soi-disant vu mais personne n’est capable d’en apporter la preuve objective irréfutable" (Am J Obstet Gynecol. 2001 Aug;185(2):359-62.).

Là où ça devient rigolo, c’est quand on lit que les résultats de cette recherche sont basés sur des données anatomiques obtenues par études sur cadavre (si!), sur pièces opératoires et par imagerie médicale, et visant à confirmer la réalité du point G.

Je suis radicalement d’accord avec le fait que le plaisir sexuel et la manière dont se déclenche l’orgasme dépassent l’ordre glandulaire, mais je n’ai pas pu m’empêcher d’éclater de rire en imaginant les efforts déployés par le vaillant Dr HINES pour faire jouir un cadavre.

Pfff… Va falloir congeler ;oD

Un peu du tout..

Premier tour…

Second tour…

Pour le plaisir du Cercle, et de ceux qui en sont
 :-))))))))))))))))))))))

Animal de (bonne) compagnie

Sympathique et bon vivant (ce qui ne gâche rien, comme on le voit ici),
je lui consacre un petit album photo, histoire de changer des yorkshires et autres rongeurs.

Dodo

Danger

Les épidémies, c’est des trucs contagieux, inutiles et dangereux qui se transmettent sur des terrains accueillants et fertiles.
Accueillants, et fertiles.
il y a des évidences comme ça, dont le bon sens échappe pourtant au commun.
Ces maladies touchent le tout-venant passif, jeune, vieux, qu’il soit beau comme moi ou con comme eux, là.
Le tout-venant, passif. Logique,limpide, évident.
Un mort – confirmé ou à venir –  se reconnaît du premier coup d’œil. Ca ne bouge pas, ça ne réagit pas. Ça reste là, accaparé dans sa chimie organique intérieure. C’est hyperactif, mais dedans.
Ca demande juste à être confirmé. Validé.
C’est la présélection naturelle, le dégrossissage au balai de cantonnier, l’équarrissage. On peaufinera après.

J’ai trouvé une nouvelle épidémie et à la vitesse à laquelle elle se développe, mute et se propage, ça nous promet une belle partie de rigolade quand on va l’officialiser.

Le virus agit simplement sur les neuro-tansmetteurs : il dérègle la sécrétion d’acétylcholine, exacerbant la mémoire ou altérant la concentration, réduit la production de dopamine, de noradrénaline  et de mélatonine, interrompt la sécrétion de GABA et en revanche, secoue la production d’adrénaline.
Ce qui donne un bordel sans nom.Je vous laisse rafraîchir vos connaissances  sur les NT pour anticiper les conséquences.

Pas de vaccin, bien évidemment. Mais avec une bonne cure intérieure, on peut purger l’organisme. Les meilleurs survivent, tant pis pour les autres.

La contamination et la propagation s’effectuent entre proches, à travers le Souffle, par lequel se transmettent les miasmes.

Je passe sur l’origine de ce virus.
Un peu comme pour la grippe espagnole :ça frise le pitoyable. Une histoire de chercheurs persuadés de travailler à un remède miracle, qui se plantent (évidemment) sans en avoir pleinement conscience et qui perdent le contrôle de leur création.

En tout cas, c’est une belle saloperie.

M’en fous, j’y fais face : le Non-dit ne passera pas par moi.

Vous aussi, protégez-vous. Si vous avez quelque chose à dire, dites-le.
Si vous n’avez rien à dire, pas de souci.
Mais si vous avez quelque chose à dire et que vous ne le dites pas parce que vous avez une bonne raison de croire que si vous le dites, ça peut être plus préjudiciable de le dire que de ne pas le dire et que la perception…
Vous êtes infecté.

et gigue.

En musique classique, la gigue, ou bourrée, est une danse à quatre temps qui se danse à deux.
En électronique, une gigue est une fluctuation de signal.
En informatique
une gigue est la variation de délai,

la constante qui permet de
préserver la synchronisation entre l’émetteur et le récepteur.

partition (2)

Partition

Harmonica.

Indeed. Le meilleur ami de l’homme, sans conteste. Un respect total, un partage absolu, toujours présent, prêt à résonner à l’unisson avec ton âme dans le souffle et le rythme de ses élans, de ses hurlements, de ses sanglots, de ses peurs, de ses rages et de ses rires.
Toujours prêt au fond d’une poche, petit bout d’univers qui a peine sorti de l’obscurité, se réchauffe et vibre en frétillant dans le premier souffle, emplit le monde, le fige un instant et l’emmène sous ses volutes.
La magie des instants où la musique prend corps dans l’écho d’une gorge en montagne, d’une église vide, d’un parking souterrain ou d’une cage d’escalier, emmenant en maître malicieux l’édifice en perceptives nouvelles.
Allez, plaisir du jour : un nouveau sous-dossier dans mon skydrive, parce qu’il y en a encore qui croient que l’harmo, c’est un truc qui fait pouêt et sur lequel on peut même faire ouin-ouin-ouin-ouiiiiiin avec son grand frère sur les épaules (ils n’ont pas tort : on peut aussi faire un djembé en retournant un violon).
Enjoy.
Ah, un p’tit bonus 😉

Cadeau

Friday night in San Francisco…
Paco de Lucia, Aldi Meola, John McLaughlin… Trois géants.
Juste pour le plaisir.