Burqa (2)

..Et afin de lever le voile (arf!) sur le baisser de voile d’André Guérin, faisons la distinction (histoire d’étendre notre culture) entre :

Le niqab, porté dans les pays du Golfe & en Asie, recouvre le visage mais pas les yeux.

Le hijab, du verbe "hajaba" (dérober au regard), recouvre la chevelure et le cou mais point le visage.

Le jilbab (ou djellabah) est un long vêtement originaire de Turquie.  l’origine, c’est un vêtement d’homme.

L’al-amira est un couvre-chef en deux pièces qui comporte une sorte de bonnet très étroit et une écharpe en forme de tube.

La shayla ou dupatta est une longue écharpe rectangulaire qui sert de coiffe et peut êrte épinglée aux épaules.

le khimar est un couvre-chef de forme ronde avec un trou pour le visage, qui couvre les cheveux, la poitrine et les épaules.

Le tchador est une pièce d’étoffe semi-circulaire ouverte sur le devant, qui ne possède pas d’ouvertures (ou de fermetures) pour les mains et se porte surtout en Iran.

Et la Burqa, qui recouvre le corps tout entier, tête comprise, avec une grille pour les yeux,  surtout portée en Afghanistan mais aussi au Pakistan et en Inde

Notons aussi que, si disgracieuse que soit, à nos yeux, cette coutume, elle a plus de cachet avec un enfant….

.

que celle, que lui confère la culture outre-atlantique, avec un "sabre-laser"…. 😀

e

PS : J’ai parlé du Niqab, du Hijab, du Jilbab, de l’al-hamira, de la shayla, du khimar, du tchador, de la burqa…. J’en ai oublié plein, orthodoxes ou autres.
Celle-ci, par exemple….

Burqa

On a beaucoup évoqué ce sujet. Trop à mon sens.
Les mots qui suivent ne sont pas miens et appartiennent à une personne qui -selon mon regard – est capable de débiter une grande multitude d’inepties sans s’en priver. Toutefois, sur ce coup-là, je ne peux qu’adhérer, et je le fais.

[…] quant à la laïcité institutionnelle, et au
respect des libertés démocratiques fondamentales qui garantissent le
respect de la vie privée des citoyennes et citoyens de ce pays. 

Qu’est-ce que la laïcité ?

 
La
laïcité n’est pas une philosophie ni un art de vivre, c’est un mode
d’organisation politique des institutions. Elle vise, par la séparation
des Églises et de l’État (loi de 1905), à distinguer
institutionnellement le domaine de l’Administration et des services
publics du domaine privé de la vie des citoyens.

 
La
laïcité, comme principe politique d’organisation, s’applique aux
institutions et non aux individus. C’est cette claire distinction, mise
en œuvre par la loi sur la liberté d’association du 1er juillet 1901,
et par la Loi du 9 décembre 1905 qui garantit la non-ingérence des
conceptions métaphysiques dans le domaine public pour mieux garantir la
liberté d’opinion et de comportement dans le domaine privé.

 
Dans
cette acception, il est logiquement républicain et laïque d’interdire
tout signe d’appartenance religieux à l’École publique et pour les
agents du service public. C’est ce qu’ont fait la loi Goblet de 1886,
la Loi de 1905 et les circulaires Jean Zay de 1936 et 1937. En
revanche, la loi n’a pas à dicter les modes vestimentaires dans le
domaine privé, ou tout autre comportement, tant que ceux-ci ne sont pas
une menace pour la vie d’autrui.

 
On ne combat pas un totalitarisme en le remplaçant par un autre

 
Il est indéniable que le port imposé de la burqa ou du niqab est un symbole de l’oppression. 
Mais en quoi le port de la soutane pour les prêtres, de la robe de bure
pour les moines, de la robe et de la cornette pour les religieuses, du
schtreimel, du spodik ou du caftan pour certains juifs est-il moins
oppressif  que le port de la burqa pour certaines musulmanes ?

Ce sont toujours les dictatures qui ont voulu imposer un mode de
vie et des modes vestimentaires. En 1872, le tsar Alexandre II a
interdit, en Pologne, alors sous occupation russe, le port des
papillotes et des longs manteaux (costume traditionnel) pour les juifs.
Le Code civil de Napoléon Ier interdisait le port du pantalon pour les
femmes. De 1967 à 1974, la Grèce des colonels a interdit les cheveux
longs et la minijupe. L’Histoire regorge de ces tentatives totalitaires
de vouloir régenter la vie des gens.

« Lorsque
le fanatisme est mis au service d’une cause ignoble, on peut le
regretter, on doit le combattre, mais on peut le comprendre –
intellectuellement –, car on est dans un système cohérent où les causes
et les effets, les objectifs et les moyens, correspondent comme dans un
puzzle parfaitement ajusté. Mais lorsque le fanatisme est mis au
service d’une cause, la plus noble soit-elle, il dégrade et disqualifie
ipso facto cette cause dont il prétend servir la promotion. Pourquoi ?
Parce que l’être humain est un être complexe, capable de massacrer ses
contemporains au nom de l’amour, de les enchaîner au nom de la liberté,
de les rendre fous au nom de la raison et, en somme, de faire régner la
terreur au nom de la vertu 
» (Alain Graesel, ancien Grand Maître de la Grande Loge de France).

La burqa, la soutane, le caftan, sont des tenues imposées pour uniformiser la vie de ceux qui les portent, et « tout uniforme est une
livrée
 »
(Ferdinand Buisson). Pourquoi, dès lors, distinguer entre les
oppressions vestimentaires ? Pourquoi interdire l’une et autoriser les
autres ?

Défendre les libertés démocratiques

« La liberté, c’est toujours défendre la liberté de celui qui pense autrement »
(Rosa Luxembourg). On va commencer par interdire tel vêtement, et
demain où cela s’arrêtera-t-il ? Il fut une époque où il était interdit
de s’embrasser dans la rue. Va-t-on nous faire tous marcher au pas de
l’oie ?

 Nous sommes dans une société qui ferait apparaître le régime de Big Brother 
dans « 1984 » d’Orwell pour un jardin d’enfants. Nous sommes fichés,
surveillés, contrôlés, inspectés, fouillés en permanence. Par les
systèmes informatiques, les possesseurs de la puissance électronique et
du pouvoir politique peuvent tout savoir sur nous. Il y avait, sans
doute, moins de risque, pour la confidentialité de ses opinions, à
écouter Radio-Londres en 1942 qu’à surfer aujourd’hui sur Internet.

Et
l’on va nous dire ce qui est autorisé ou pas comme vêtements ?
Insidieusement, par cette campagne médiatique, certains forgent un
ordre moral qui n’ose pas dire son nom. On entre de plain-pied dans le
politiquement correct et la pensée unique. On cherche à formater la
société.

 Après le délit de sale gueule, va-t-on avoir le délit de sale vêtement ?

 C’est
une conception néo-totalitaire. Rappelons qu’en 1905 ce type de débat a
déjà eu lieu : fallait-il une Loi de Séparation des Églises et de
l’État, ou une loi de destruction des religions ? Le débat politique
était clairement posé : État laïque ou État athée ? La Libre Pensée
s’est retrouvée très majoritairement, avec Jean Jaurès, dans la
proposition d’Aristide Briand pour une séparation : « Une
loi n’a jamais pu, heureusement, réussir à réduire, ni les individus,
ni les groupements d’individus, encore moins leur pensée, à
l’impuissance. Une telle loi qui se proposerait un tel but ne pourrait
être qu’une loi de persécution et de tyrannie
. »


Tests : psycho

 
Bon, un peu de sérieux.
J’ai besoin de ce qui se trouve dans la liste suivante, et je la mets ici au cas où quelqu’un aurait sous le coude un ou plusieurs de ces éléments et l’envie de partager
(si j’ai de la chance, je mettrai l’ensemble dans mon skydrive avec accès sélectif, rendant la politesse)
  • Questionnaires et inventaires de perso :
       CPI-R,
       GPPI , 16PF5,ALTER EGO et NEO PI-R,
       MBTi et HEXA 3D
       Mini-multet PSA
       CISS (évaluation des styles de réactions aux situations stressantes)
       ANX
  • Méthodes projectives : 
        Tests projectifs
           Constitutifs : Rorschach 
           Interprétatifs thématiques : FAT,TAT,Patte Noire,TSEA
           Constructifs : test du Village, Scéno-test
  •  Tests à support verbal :
           récits : histoire d’une gomme, test des contes
           compléments de dialogue : Rosensweig 
           complètements de phrases : phrase de Bastin, Paul, Stein,
  • Dessin :
           Stora (Dessin de l’arbre)
           Corman (Dessin d’une famille)
           Royer – Machover (Dessin d’un personnage)

ah, et le TDVP, aussi.

 

Principe de physique appliquée

Si tu mets une turbine sur les désespérés, l’énergie du désespoir te fournit en électricité.
 
 

n'est-ce pas.

 
Quitte à avoir un gros tremblement de terre, autant que ce soit à Haïti,
où ils n’ont rien,
qu’à Limoges avec toute cette porcelaine…
 
 

Le port du couteau.

 
S’il est pliant, il trouve sa place dans une poche, dans un sac ou clippé là où c’est commode et tout va bien.
Pour le poignard, il se place à la hanche, au brelage ou à la botte parmi la soldatesque et c’est sans surprise.
Mais dès qu’il est question de port dissimulé, c’est une autre affaire.
La culture livresque et cinématographique propose bien quelques options mais celles-ci sont un peu éloignées des réalités malgré leurs charmes.
On a vu des ports dans la manche au moyen d’étuis savants qui proposaient même l’éjection d’autant chatoyante qu’on ne sait pas comment ce foutu mécanisme fonctionne et que le couteau ne tombe jamais (non, non, jamais). On a vu aussi des gilets bien alambiqués portés par des types talentueux aux articulations hyperlaxes qui faisaient jaillir d’un geste vif leur lame de par-dessus leur épaule sans se déboîter celle-ci, et d’autres techniques encore, très élaborées.
le souci est que la réalité est autre, qu’on n’a pas ces gadgets sous la main et que par ailleurs, plus les systèmes sont alambiqués, moins ils sont fiables.
Or les 3 principaux soucis du porteur sont d’avoir son arme tenue à l’abri des regard, fixée solidement et rapidement en main.
Pour ce faire, c’est beaucoup plus simple. Il y a simplement l’art et la manière, et c’est l’objet de ce billet (qui n’intéressera pas tout le monde mais qu’il m’amuse de rédiger :-D).
 
Tout est au bout du compte dans l’étui.
Celui-ci doit être solide, peu encombrant, ne concerner que la lame (inutile qu’il monte le long du manche) et il doit disposer :
– d’un système de fixation à la ceinture (passant ou clip. Pour le clip, voir la petite mention sur le Gerber dans l’album photo),
– d’un système de rétention de la lame dans l’étui, fiable et aisément manoeuvrable (languette à presion/ velcro ou autre),
– d’un orifice pour passage de lacet à sa base vers la pointe de la lame
– et s’accompagner d’une cordelette (de la suspente de parachute, dans l’idéal) d’environ 1,20/1,50 m.
Un peu comme sur ce schéma :
Dès lors, il y a 3 ports possibles sous la veste : à l’aine, à l’aisselle ou dorsal.
A l’aine, pas besoin de la cordelette. la fixation se fait à la ceinture.
On peut le porter en "simple" (du côté de la main qui saisit) ou en opposé (donc du côté opposé), façon "normale" (le manche en haut) ou inversée (le manche vers le bas).
L’idéal étant en simple inversé : on limite l’encombrement, les mouvements inutiles, on réduit l’amplitude du geste et on gagne en efficacité.
 
    
 
A l’aisselle (là, port opposé et inversé, forcément, mais commode) : on a besoin de la cordelette qu’on passe dans l’etui. Réglage de taille, un petit noeud pour rejoindre les deux extrémités et on enfile, comme sur le dessin.
 

En dorsal (très pratique aussi). Cordelette, réglage de taille, petit noeud. On passe le tout sous les bras, couteau devant soi, et on balance le tout derrière, par-dessus la tête, avant de remettre sa veste.
 

Je sais : pas très utile pour faire ses courses dans l’hexagone mais en d’autres lieux et d’autres contextes, ça fait parfois la différence 😉
 
————
 
Additif, soumis par Freki Leu, photos incluses :
 " Liner lock en poche forte, accessible rapidement, ouverture assistée (je me fais vieux 🙂 ). Port discret et quotidien, no problem… Très "à la mode" dans les forces armées, plus que le clip dans la poche battle du treillis. Perso, je n’ai pas encore trouvé plus KISS pour porter un outil de tous les jours. J’ai mis une photo aussi chemise débraillée pour le côté discret.

Un bench made en tour de cou, avec lacet sorti de la chemise (sous la cravate, on ne voit rien…). Plus martial comme port, à noter le dispositif anti étranglement du tour de cou.

Deux petits back up (briquet et ceinture) qui se font oublier…"

 
 
 
 

Ce n'est pas de moi, très vrai et gentiment dit…

Le style est d’hier, mais le fond demeure…..

Quand je me plaindrais nuit et jour
De la cruauté de mes peines,
Et quand du pur sang de mes veines
Je vous écrirais mon amour,

Si vous ne voyez à l’instant
Le bel objet qui l’a fait naître,
Vous ne le pourrez reconnaître,
Ni croire que je souffre tant.

En vos yeux, mieux qu’en mes écrits,
Vous verrez l’ardeur de mon âme,
Et les rayons de cette flamme
Dont pour vous je me trouve épris.

Vos beautés vous le feront voir
Bien mieux que je ne le puis dire ;
Et vous ne sauriez bien lire
Que dans la glace d’un miroir.

Autre réflexion

On est trop nombreux sur Terre.
Surtout eux.

Reflexion du jour

Les grands esprits se rencontrent, mais moins souvent que les petits.

L'art de la guerre français à travers l'histoire :-D

 

Invasion romaine.

Perdue. Dans une guerre dont la fin laisse présager les deux millénaires  de l’histoire française qui vont suivre, la France est conquise en toutes choses par un italien.

 

Maures en Espagne, fin 700S-début des années 800.

Même avec Charlemagne les menant contre un ennemi qui évolue en terre hostile, les français sont incapables de faire beaucoup de progrès et resteront de ce côté des  Pyrénées jusqu’à nos jours.

 

Invasions vikings, 841-911.

Après avoir cheminé avec les Français pendant 70 ans, les Scandinaves se laissent corrompre par un roi français du nom de Charles le Simple (si si !), qui leur donne la Normandie en échange de la paix. les Normands  constitueront à peu près le seul point positif militaire en faveur de la France pour les prochains 500 ans.

 

Hastings

Si Philippe Ier (1060 – 1108) était roi de France à l’époque de l’invasion normande de 1066 – Guillaume, duc de Normandie (accessoirement, un descendant direct des Vikings) était étranger à la France. Philipe n’a pas envahi l’Angleterre,et la victoire d’Hastings fut Normande – pas française. la Normandie fait aujourd’hui partie de la France mais ce n’était certainement pas le cas en 1066. Le couronnement de Guillaume comme roi d’Angleterre n’a rien à voir avec les Français qui, comme le veut la coutume, étaient absents des combats . La croyance erronée que 1066 fut une victoire française aboutit à la troisième règle de l’art de la guerre à la française: «Si tu es incapable d’obtenir des victoires, alors revendique celle des autres"".

 

Troisième Croisade.

Philippe-Auguste laisse Richard Cœur de Lion la finir..

 

Septième croisade.

Saint-Louis mène croisade pour l’Egypte. Retentissante défaite et raclée magistrale.

 

Huitième croisade.

Saint-Louis de retour en action, cette fois à Tunis. Voir Septième Croisade pour les résultats.

 

Guerre de cent ans

plutôt perdue, rattrapée in extremis à la fin par une femme qui sera béatifiée et qui crée, par inadvertance, la première règle du Warfare français: «l’armée française n’est victorieuse que lorsqu’elle n’est pas dirigée par un français".

 

1208: Croisade des Albigeois, les français massacrés par le français.

A la question "comment différencier un hérétique des fidèles", la réponse était «Tuez-les tous. Dieu reconnaîtra les siens». Combats remportés avec héroïsme contre une multitude composée d’hommes sans armes, de femmes et d’enfants.

 

Guerres d’Italie(1494-1559)

La France devient le premier pays (et le seul au monde) à être capable de perdre deux guerres de suite contre les italiens.

           

Massacre  de la Saint-Barthélemy le 24 août 1572.

Une fois de plus, les français flinguent les français- l’abattage à la française.

 

Guerre de trente ans 1618

La France n’est techniquement pas un participant, mais elle réussit à se faire envahir.. Revendications d’égalité sur la base du fait que les autres participants ont commencé à  l’ignorer.

 

Inde, 1673-1813.

les Britanniques, au comportement beaucoup plus charmant que les français, finissent vainqueurs et adoptent le thé.

  

 la guerre de Hollande (1672-1678)

invasion ratée de la part de Louis XIV, qui s’en sort avec un traité

 

Guerre intercoloniale de la Ligue d’Augsbourg (Québec)  ou guerre du roi King William’s 1688-1697

perdue, mais revendiquée comme une cravate.

  

Guerre de Succession d’Espagne 1701-1714

Perdue

 

Guerre de sept ans 1756-1763

perdue: après avoir été fracassés par Frédéric le Grand de Prusse (ah, les Allemands) à Rossbach, les Français sont maintenus à l’écart pour le reste de la guerre par Frédéric de Brunswick et autres, dont les Britanniques. Cette guerre voit également la France expulsée du Canada (Wolfe à Québec) et de l’Inde (Clive à Plassey).

 

La Révolution américaine

Dans un geste qui va à l’avenir devenir très familier aux américains, la France réclame une victoire. Cela deviendra plus  connu, sous l’appellation de « syndrome Charles de Gaulle, ", ce qui conduit à la deuxième règle de l’art de la guerre français, "la France ne gagne que quand l’Amérique a fait la plupart des combats."

 

La Révolution française

gagnée, principalement en raison du fait que l’opposant était aussi français.

 

Haïti, 1791-1804.

les Français sont vaincus suite à la rébellion de 4000 Polonais, après avoir sacrifié à la fièvre jaune.

Autre règle de l’art de la guerre français : en cas de doute, envoyez un allié.

 

quasi-guerre avec les Etats-Unis 1798-1801

les Corsaires français (juridiquement, des semi-pirates) attaquent la marine américaine. Les Etats-Unis combattent la France en mer pendant 3 ans; les français font soumission et battent en retraite (un précédent pour les prochains 200 ans de relations franco-américaines).

 

Les guerres Napoléoniennes

Perdue. Victoires Temporaires (Principe de la première règle) Grâce au leadership d’un Corse.

Convient de noter que la Grande Armée est en grande partie (~ 50%) composé de non-Français, de mécontents et d’anti-monarchistes. la qualité améliorée des résultats alors obtenus à plusieurs reprises n’est donc pas surprenante.

 

Barbaresques, Moyen Age-1830.

des Pirates en Afrique du Nord harcèlent continuellement le transport maritime européen sur la méditerranée. Solution de la France: les payer . Solution américaines: leur botter les fesses ( "Les Rivages de Tripoli"). Premières victoires américaines à l’étranger (1801-1815).

 

Mexique, 1863-1864.

la France tente de profiter de la faiblesse du Mexique après la raclée qu’il a pris par les États-Unis 20 ans plus tôt . Sans surprise, la seule unité à se distinguer est la Légion étrangère française (comprenant, par définition, les non-Français).

la France est expulsée du pays, un peu plus d’un an après son arrivée.

 

La guerre franco-prussienne

Perdu.

 

les jungle de Panama 1881-1890.

Personne d’autre que la nature pour se battre, la France perd encore, le canal est finalement construit par les Etats-Unis (1904-1914).

 

Première guerre mondiale

Perdue. la France est sauvée par les Etats-Unis

 

Deuxième première guerre mondiale

Perdue. La France est conquise par les allemands et libérée par les États-Unis et la Grande-Bretagne alors qu’elle commence à peine à apprendre l’allemand.

 

Guerre d’Indochine (1946-1954):

Perdue avec fracas.

 

« Guerre » d’Algérie

Perdue. Marque la première défaite d’une armée occidentale par un force musulmane non ottomane depuis les Croisades, et produit la première règle de l’art de la guerre musulman. "On peut toujours battre les Français." Cette règle est identique à la première règle des Italiens, des Russes, Allemands, Anglais, néerlandais, espagnol, vietnamien et Esquimaux.

Les Français considèrent le départ des Français d’Algérie en 1962-63, après 130 ans de colonialisme, comme une victoire française après avoir tué  2 millions d’Algériens dans cette affaire de mauvaise qualité.

(Par ailleurs, les français ne disposaient pas d’alliés lors de ce conflit. Ils ont tiré leçon pour l’avenir ; c’est pourquoi ils sont maintenant là quand ils ont besoin de vous.)

 

Et pis voilà.