To be or not to be (William Shakespeare)
Doubi doubi dou bidou (Franck Sinatra)
To be or not to be (William Shakespeare)
Doubi doubi dou bidou (Franck Sinatra)
Un hommage, quand même (de son vivant, c’est bien), parce qu’il vous a fait rêver, ne le niez pas, en vous emmenant de sa simple voix dans des mondes que vous n’aviez même pas imaginé.
Il s’appelle Jacques Frantz, il est né le 4 avril 1947 à Dijon, vous ne l’avez peut-être jamais vu et même alors, vous le connaissez tous.
ET c’est un acteur absolument époustouflant.
J’ai dit.
(Tu peux me contredire : l’erreur est humaine)
Je fais de la pub car le livre est plaisant, bien fait et de belle tournure. Et puis, l’auteur est enfant du pays (même si ce n’est pas le mien) et lui fait joliment honneur.
A découvrir, voire à offrir. Et puis, je gage que plus d’un homme sera heureux de l’accueillir en sa bibliothèque.
Ca s’appelle Suites féminines, l’auteur est Roland DUVAL et c’est édité chez les extraordinaires et encore trop méconnues éditions de l’Ecluse. Je vous laisse jeter un coup d’oeil.
J’ai noté que des Marseillais avaient fait preuve d’initiative.
Accuser les Roms de cambrioler, c’est quand même un peu fort. Tout policier et gendarme français vous le dira : il n’y a rien à craindre des roms, c’est bien connu. Les mains-courantes et registres de garde-à-vue sont là pour en attester.
D’ailleurs, le Ministre de l’Intérieur est aujourd’hui en Roumanie pour “comprendre pourquoi des politiques d’insertion puissantes n’y sont pas menées“. Je crois que ça va beaucoup faire rire les roumains, mais bon.
Il suffit de les laisser en paix, ces roms ; l’histoire prouve qu’ils savent s’adapter. Ainsi, en 1999, quand Arkan et ses Tigres ont entrepris le “nettoyage” du Kosovo, les Roms ont beaucoup fait pour l’économie locale en remettant sur le marché toutes les bagues et les dents en or récupérées au couteau sur les mains et mâchoires albanophones, et ils l’ont même partiellement relancée grâce à leur participation très active aux trafics humains (organes, filles, enfants) qui se sont développés dans ls mois qui suivirent sous la houlette de mafieux serbes et macédoniens.
Je ne galège pas. Je ne diffame pas. Je témoigne : j’y étais.
Yo.
Je viens d’écouter le treizième et dernier album de Toris Amos.
Quelle voix ! Toujours la même et en même temps toujours surprenante, avec des émotions véhiculées qui accrochent avant qu’on ait eu le temps de les voir venir, et ce salaud de piano qui colle au mouvement, le suit, l’accompagne et le précède en même temps.
Ca n’est ni plus ni moins qu’un best off, mais ça décoiffe quand même.
Je suis et demeure toriphile à l’issue, sans réserve.
Tiens, je vais me le glisser dans mon skydrive histoire de l’avoir sous le coude.
Hop, dans la boîte. Je n’aurai qu’à cliquer dessus pour l’ouvrir 🙂
L’excellent Sami Ameziane avait forcément sa place ici 🙂