Un postulat m’est reviendu, comme ça, en un endroit mi-frais, mi-chaud où il était question pêle-mêle de printemps,
d’abus variés, de sexisme social, avec légèreté.
Mes pensées vagabondaient là dessus, pensant à ces féministes, anti-féministes, machistes, anti-machistes,
aux mouvements divers de l’humanité en ce sens, en d’autre sens, à contre-sens, rétrovisions et projections…
Outre les notions de culture, d’idéologie ou autres, ne fallait-il pas en chercher la source plus en amont,
non en s’arrêtant à la Culture, mais en fouillant dans la Nature même des choses.
Car enfin, il faut bien admettre qu’il y a AUSSI des gens qui ne se sentent pas concernés, ni foncièrement féministes,
ni foncièrement machistes, et ne présentent aucune pathologie correspondante
M’est avis (merci Sophie pour une allusion lue il y a peu de temps) qu’il y a beaucoup d’idées reçues,
mais pas beaucoup d’idées fournies sur la question.
Voici donc mon postulat :
les machistes et le féministes sont des malades victimes d’un déséquilibre hormonal dont l’origine reste à déterminer,
et qui a pour conséquence une sécrétion mal proportionnée des phéromones, kairomones et allomones.
Même si ça paraît bizarre à priori, je parierais que la solution se trouve dans le cortex. Question d’incidences.