Des fois, ça coince vraiment.

Je n’arrive pas à l’admettre.

Déjà, je n’arrive pas à admettre sa mort. Mais surtout, après un mois, je n’arrive pas à admettre qu’on en ai si peu fait état et plus encore, je n’arrive pas à admettre que la puissance de ce qu’il a véhiculé n’ait pas une place privilégiée -et légitime – des berceaux aux universités.

Pourtant, ce n’est pas nouveau. Les précédents sont myriades et les ados du lycée Jacques Monnod où ma fille étudie ignorent même qui fût jacques Monnod. Alors Patrick Edlinger… Mais vraiment, j’ai du mal avec ça. Et ça ne passe pas.

Parle de lui à tes enfants. Un court métrage sur lui vaut tous les Disneys.

Et son souvenir est bien plus important que… Même pas la peine de citer des exemples, il y en a des myriades qui vous viennent spontanément.

Patrick EDLINGER

Patrick EDLINGER

Tan, tan, terre et ciel

J’écoutais Avigdor Liebermann, ministre israélien des AE, parlant des élections palestiniennes et de sa volonté de virer Mahmoud Abbas et repensait en parallèle au fameux propos public de Netanyahu sur la ligne rouge à définir à propos de l’Iran.
Et je me demandais : mais comment font-ils tous ?
Comment sionistes et islamistes font-ils pour se ressembler autant, pareillement obtus, pareillement vindicatifs, pareillement imbus de leurs personnes, pareillement “peuple élu”, pareillement bénis d’un droit divin, pareillement intrusifs, menteurs, irrespectueux et pareillement égoïstes ?

On nage en plein délire et l’hexagone baigne à fond dedans. La Toussaint blanche est d’actualité comme jamais, jusqu’au Président de la République dont le discours  laisse perplexe.
Tiens, voyez vous même, ici.

C’était le 15 septembre : il inaugurait au Louvre un département sur l’art de l’Islam.
Un superplan, qui n’est même pas une idée nationale mais un projet sponsorisé et financé par le roi du Maroc, l’émir du Koweït, le sultan d’Oman, le président de la République d’Azerbaïdjan, ainsi que le Prince AL-WALEED d’Arabie saoudite. Quand l’islamisation nous tient…. Oh, je respecte. Mais j’ai le droit de n’être pas tenté.

Je vous assure que notre Flamby en a fait rire plus d’un, mais quand même, on rit jaune…

C’est vrai en particulier des Français et des Européens, qui constateront avec surprise ce qu’ils doivent aux cultures de l’Orient. Les exemples sont innombrables : le Taj Mahal, les chiffres arabes, les rapports étroits qui unissent les philosophies grecque et islamique, Aristote et Averroes.”
Les “chiffres arabes” sont indiens, mon cher. On les a appelé ainsi mais en Arabe même, l’appelation est “chiffre hindis”.
Aristote et Averroes… Ben oui, pourquoi pas : à part que même si le second fut à son époque un bon aristotélicien, à peine 16 siècles les séparent.

Mais bon. Moi, j’ai bien aimé :
« Il n’y a pas une civilisation, mais des civilisations de l’islam. Toutes raffinées et rayonnantes. Telles qu’elles se révèlent ici, elles sont autant de preuves et d’espaces de liberté. Elles se fondent sur la tolérance à l’égard de toutes les interprétations du monde »
Aucun doute là dessus, on le voit tous les jours.

« Une fois encore, l’évidence : entre l’Europe chrétienne et les cultures d’islam, les correspondances sont innombrables. »
Aussi. En sens unique, malheureusement.

Allez, je vous laisse. Je vais bouquiner un peu 🙂

Veronika

… mais aussi  les démagos, la manif, Professeur Mûller, l’enfant du flic,le camp des solitaires, le fou, l’hymne de pieds-Noirs, etc.
Tout est là.

Et le reste aussi.
😀

Ca sent trop la merguez.

Comme beaucoup, les comportements animaux d’une partie de la population de souche nord-africaine au soir du deuxième tour des élections présidentielles m’ont inspiré dégoût, colère, mépris, amertume et autres ressentis. Le socialisme est de retour, et les tares qu’il draine dans ses gênes aussi. Mais si j’ai réussi pendant de très longues années à juguler des convictions de bon sens jaugées peu politiquement correctes, la réalité me contraint à l’admettre : ça sent un peu trop la merguez dans ma cuisine et les grands principes d’intégration et de respect à la sauce socio-religieuse commence à me brouiller l’écoute menu. Quant à mon regard sur “notre” population algérienne (qui somme toute – socio-historiquement parlant- est au centre du propblème), il est devenu doublement raciste. Raciste parce que je n’aime pas ce peuple, je n’aime pas sa mièvrerie, ses faux semblants, son inculture, son hypocrisie, sa violence, son pourcentage de population délinquante, sa fausseté, ses mensonges, sa veulerie, sa paresse et son manque total d’éthique, de courage et de loyauté, au point qu’il chasse régulièrement de son sein ceux qui n’ont pas ce regrettable profil. Doublement parce que je peux remettre en question ce regard pas forcément sain sur ce peuple, mais celui-ci fait au contraire tout pour conforter, nourrir et enrichir mon point de vue initial.L’intégration est un échec. J’avais plusieurs choses à développer mais il s’avère qu’une autre personne l’a fait mieux que moi avant moi. Autant la lire, ça le vaut. Ici.

Ah, au fait :  parler de racisme est une ânerie. Algérien, ce n’est pas une race. Israélien non plus.  Pas plus que ligérien.  Mais comme les mots ont changé dans les années 80, avoir un ressentiment légitime pour un peuple grmlhmfrkschl étant une démarche dite “raciste”,  je n’ai pas le choix : j’endosse la blouse 🙂

Phone, sweet phone

Mon bienaimé téléphone, celui qu’est en peau de T34 et qui fait fléau d’armes avec un manche et un bout de cuir, me donnait des signes de bouderie depuis quelques jours. Je l’aurais bien envoyé sur le mur mais
1. je me suis pris d’affection pour ce compagnon increvable
2. C’est son premier loupé
3. Pas envie d’exploser le mur (surtout que c’est un mur porteur).
Toujours est-il qu’il a progressivement abandonné toute forme de réception qu’il avait usage d’accueillir : appels (c’est un minimum), messages variés & co.
Je me résous à en changer et bascule ma carte sim dans un téléphone de secours que j’ai dans mes boîtes.
Aaargh ! Nom d’un Netanyahu ! Ca fait pareil !
Hop, j’appelle (ça, je peux) mon fournisseur et après avoir visité tout le clavier grâce à l’arborescence des plates-formes, J’obtiens une voix humaine en vrai et je participe joyeusement (mon forfait aussi) à une longue batterie de tests à l’issue desquels mon interlocuteur m’annonce avec beaucoup de sérieux: ” Apparemment, ça ne vient pas de votre portable”.
Encore un qui a étudié Bachelard et Sartre en même temps.
On vit parfois de grands moments de solitude.
Et le téléphone n’y est absolument pour rien.

De sang et d'eau

http://ibuzzyou.fr/we-love-you-iran-israel-ronny-edri-lance-un-message-damour-et-de-paix.html
je retranscris ici cet article (http://www.jolpress.com/article/les-pacifistes-menent-leur-guerre-sur-internet-israel-iran-nucleaire-attaque-543472.html)
Tout simplement parce qu’il doit être lu et colporté.
Parce que la démarche est faite de sagesse et de bon sens
Parce que la dynamique qu’elle implique sous-tend une prise de conscience
et parce que sans exemple, il est difficile de faire comprendre que le passage de la brume vers la lumière n’est ni un mythe, ni un acquis.

Le message de paix d’un designer israélien fait le buzz Par Noga Tarnopolsky – 26/03/2012

Ce message, publié sur Facebook, a créé un véritable buzz en quelques jours en Israël. Son auteur s’appelle Ronny Edry : pour lui, pas question de mener une guerre contre un peuple, le peuple iranien, qui ne lui a rien fait et qu’il ne connaît pas.
Tous ces beaux discours sur l’éventualité d’une guerre avec l’Iran ont commencé à tourmenter Ronny Edry, designer graphique de 41 ans originaire de Tel Aviv. Cet ancien parachutiste s’est interrogé, « pourquoi voudrais-je attaquer l’Iran ? ».

Un message d’espoir pour les Iraniens

« Ce n’était pas tellement une idée que j’avais. C’était juste comme un désir de réagir à cette chose folle qui se produit sous nos yeux : les Iraniens seraient en train de se préparer à nous attaquer et nous serions en train de nous organiser pour les attaquer en premier… Je voulais simplement sortir tout cela de ma tête. Je voulais simplement dire que je n’ai rien contre eux et que je ne vais pas leur faire la guerre. D’ailleurs je ne les connais même pas. »

La semaine dernière, il a donc écrit ces quelques mots :

« Pour le peuple iranien

Pour tous les pères, mères, enfants, frères et sœurs

Pour qu’il y ait une guerre entre nous, nous devons d’abord avoir peur les uns des autres, nous devons nous haïr.

Je n’ai pas peur de vous, je ne vous hais pas.

Je ne vous connais même pas. Aucun Iranien ne m’a jamais fait de mal. Je n’ai même jamais rencontré un Iranien… Juste un, une fois, dans un musée parisien. Un type sympa.

Je vois quelques fois ici, à la télévision, un Iranien. Il parle de la guerre.

Je suis sûr qu’il ne représente pas tout le peuple iranien.

Si vous voyez quelqu’un, dans votre télévision, dire qu’il veut vous bombarder… soyez sûr qu’il ne représente pas tout le peuple israélien.

Je ne suis pas un représentant officiel de mon pays. Mais je connais les rues de ma ville, je parle avec mes voisins, ma famille, mes amis et au nom de tous ces gens… nous vous aimons.

Nous ne vous voulons aucun mal.

Au contraire, nous voulons vous rencontrer, boire du café et parler de sport avec vous.

A tous ceux qui se reconnaissent dans ce que je dis, partagez ce message et aidez-le à atteindre le peuple iranien.

Ronny. »
Facebook, relais des pacifistes

Il ne voulait pas être anonyme et Ronny est un prénom courant. Il voulait que quiconque voit son message, voit aussi son visage. Il a donc convaincu sa femme de le prendre en photo, sur son balcon, avec leur fille de 5 ans, Ella, dans ses bras. Le soleil brillait, Ella devait plisser les yeux.

Il a ensuite publié ce message et sa photo sur la page Facebook que sa femme et lui tiennent pour Pushpin Mehina, le petit collège dans lequel ils enseignent le design graphique. « Ok, j’ai fait ce que je devais faire, je peux aller me coucher. » se souvient-il avoir pensé le soir même.

Il a entouré ses mots dans un joli cœur, coloré et kitsch.

« Je suis designer graphiste, je fais toujours des affiches avant d’aller me coucher. C’est ma manière de réagir à ce qui se passe autour de moi » dit-il.

« Je n’ai pas exprimé d’opinion politique. J’exprime une position humaine […] Je voulais juste dire ce que je ressens. »
En quelques jours, plusieurs milliers de partages

Lorsqu’il s’est réveillé le lendemain matin, quelques personnes avaient « aimé » sa publication. Quelques-unes l’avaient partagée. Le troisième jour, il a reçu un message privé de la part d’une femme iranienne. Il est allé réveiller sa femme au milieu de la nuit pour lui annoncer cette nouvelle.

« Quelqu’un en Iran a vu notre publication ! » se souvient-il lui avoir dit.

Dans le monde rapide et exponentiel d’Internet, il semble que la paix puisse encore s’épanouir. Le quatrième jour, des milliers de personnes avaient partagé sa petite affiche, ou une version personnalisée de celle-ci. Parmi eux, des centaines d’Iraniens, dont certains habitant en Iran. Ce jour-là, Ronny Edry a ajouté 1 500 Iraniens à sa liste d’amis. Le sixième jour, des dizaines de milliers de personnes avaient participé à l’opération, dans une dizaine de langues.

« Je suis sous le choc » avoue-t-il maintenant. « C’est comme un rêve. Je suis l’Israélien qui a le plus d’amis en Iran. J’ai des amis communs avec des amis iraniens ! Je sais où ils sont. Jusqu’à il y a quelques jours, l’Iran était un pays très abstrait pour moi, représenté par l’effrayant Mahmoud Ahmadinejad, portant des lunettes et parlant de centrifugeuses. »
D’une simple publication à la médiatisation

En Israël, cette initiative est rapidement devenue le sujet de conversation de la semaine.

« Je devrais m’y opposer » explique Yiashai Edri, 28 ans, étudiant en informatique à Jérusalem, qui se dit plutôt conservateur. « Mais je ne peux pas m’empêcher de l’admirer. C’est comme la trêve de Noël, version XXIème siècle. »

Le cinquième jour, Ronny Edry imaginait déjà un projet plus grand.

« J’espère que nous serons capables de médiatiser notre message. Al Jazeera, Times Square […] Je veux que ce message apparaisse dans des endroits où les gens peuvent le voir, et je veux qu’il soit diffusé, au-delà des simples réseaux sociaux. »

Afin de réaliser son projet, il a désormais ouvert un site internet qui lui permet de récolter des fonds.

« Je dis toujours à mes étudiants que le design graphique peut influencer » explique-t-il. « Mais dans le fond de ma pensée. Je sais que ça n’influence pas vraiment. Mais vous pouvez transmettre un message, et ce message peut influencer les décisions que les gens vont prendre. Vous pouvez influencer l’état d’esprit de quelqu’un. »
250 000 « Persans » en Israël

Ce message, parti de rien, vient grossir la liste d’autres initiatives pacifistes israélo-iraniennes.

Il y a tout juste deux semaines, Soli Shahvar, 50 ans, professeur à l’université Haifa, directeur du Centre Ezri pour les études du Golfe et de l’Iran, a ouvert un site internet en persan, afin d’informer les Iraniens sur la société israélienne, « afin de rétablir la vérité sur cette fausse vision qui leur est donnée depuis 32 ans par la République islamique. »

« Sans aborder les questions politiques. Nous avons des rubriques culture, science, technologies, sport, Iran+Israël, Tel Aviv, ce qu’il y a de nouveau en Israël. » Des dizaines de milliers d’iraniens ont déjà répondu.

Soli Shahvar fait partie de ces 50 ou 60 000 Israéliens d’origine iranienne. Israël a déjà eu deux chefs d’état-major et un président d’origine iranienne. Presque 250 000 Israéliens se disent d’origine perse.
Internet ne changera pas les gouvernements

Depuis, les cyniques sont au rendez-vous. Haggai Ram, professeur d’études sur le Moyen Orient à l’université Ben Gourion et auteur d’Iranophobie, une étude sur les attitudes israéliennes concernant l’Iran publiée en 2009, est sceptique quant à la bulle internet de l’amour.

« C’est mieux que rien » dit-il. « Cela réchauffe le cœur, particulièrement dans le monde virtuel. Mais en fin de compte, la société israélienne est assez ignorante sur ce qu’il se passe en Iran. L’opposition à la guerre en Iran est comme une mouche qui bourdonne à l’oreille du gouvernement, elle peut être écartée d’une seule main. »

Il espère qu’une manifestation contre une éventuelle attaque sur l’Iran, prévue samedi 31 mars, réunira une foule plus importante que la précédente, organisée il y a un mois, en face du ministère de la Défense israélien, à Tel Aviv. Lors de la première manifestation, Haggai Ram explique, « Il devait y avoir un peu plus d’une vingtaine de personnes et deux policiers par manifestants. »

Actualité toulousaine : suite

Le Premier Ministre Israélien a félicité les autorités françaises.

Pas pour nos soldats abattus, dont il n’a rien à cirer. Et nous, on félicite le face à face permanent et l’imbécilité identitaire des musulmans solidaires du monde Arabe ET des juifs solidaires d’Israël, les exactions des uns nourrissant celles des autres et vice-versa.
Ce qui donne ce résultat : du sang de soldats et d’enfants.
En Occitanie…
On félicite aussi les uns et les autres pour ne ressentir la moindre honte et, bien au contraire, être tous à l’aise devant Dieu.
Car ils le disent : ce sont eux, les victimes.

Bravo. Et merci. On est avec vous. Continuez comme ça.

Et soyez assurés de notre respect et de notre affection, à la mesure de votre mérite.

Actualité toulousaine

Je commente assez peu l’actualité, mais les meurtres abjects perpétrés en région toulousaine ces derniers jours méritent un mot, un mot de colère, de peine, et de communion.
L’acte gratuit est au sommet de l’échelle de l’ignominie et sa simple évocation rassemble légitimement les avis pour y voir une exception sans concession à l’abolition de la peine de mort.
Outre l’infamie qui le génère et les dégâts qu’il cause, il ne peut avoir pour seule  réponse qu’une éradication immédiate et sans nuance de ses souches et de ses auteurs.
Si ces actes qui ont eu lieu sont porteurs d’un message, balloté sur l’onde du dégoût et de la douleur, ce n’est pas celui que le chien qui les a commis a voulu leur prêter.
Ils nous rappellent, dans leur gravité, dans les réactions qu’ils suscitent et dans les mesures qu’ils ont et vont entraîner, que ni la confession ni la couleur de peau ne sont des critères dominants, dans la consécration comme dans la stigmatisation.
Chacun a bien pris conscience -de tout bord et de toute obédience – que la France est sa famille avant toute autre, que cette famille – comme aucune famille – n’est pas parfaite, que les membres qui la composent ont des différences et parfois de très fâcheux caractères, mais que nul ne peut remettre en cause sa composition et qu’on n’y touche pas.
Et moins encore aux enfants.

Fryme jasht

Enfin un truc qui bouge dans le contexte politique : Marine Le Pen a officiellement ses 500 signatures, ce qui, a mon sens, est une excellente nouvelle.
Il eut été dommage pour plus de 20 % des français de devoir basculer dans l’abstentionnisme dès le premier tour et de ne pas bénéficier de l’élan de ce 1er tour pour ne pas faire au second un choix adapté à leurs convictions, selon les candidats encore en lice.
Loin de moi de faire des plans sur la comètes, mais cette nouvelle n’est pas très favorable au candidat socialiste, malgré sa détermination. Je crains que cette nouvelle tentative d’ascension ne le déçoive une seconde fois (rappelons qu’il a déjà failli être Première Dame de France voici 5 ans).
On verra.

Lingeries

Voilà un titre aguicheur.
Et voici des noms qui le sont bien plus encore.
L’ordre alphabétique en vaut un autre, commençons avec la lettre A, voulez-vous ?
Agent Provocateur
Agua Doce
Alannah Hill
Amor Latino
Andres Sarda
Angelic Weapons 
Antonia Ghazlan
Argentovivo
Arianne
Aubade
Ayten Gasson
Azzollini

On continue ?

Bacirubati
Bien Fée Pour Toi 
Bracli  
Carine Gilson 
Chantal Thomass 
Chantelle 
Charnos Christies
Christine Vancouver
Cosabella Cotton

Club Courtworth Paris